Résumé :
|
[BDSP. Notice produite par FNG 43JQQR0x. Diffusion soumise à autorisation]. La qualité de vie est devenu un élément clé du traitement et de la prise en charge du malade dément comme de son aidant principal. Elle peut être évaluée par des échelles spécifiques de qualité de vie, validées et d'emploi aisé. La qualité de vie des malades est corrélée à celle de son aidant principal. Une mauvaise qualité de vie chez un malade comme chez l'aidant ne favorise pas l'institutionnalisation du malade, mais a un impact sérieux sur la santé de l'aidant. Les facteurs conduisant l'institution sont d'autres natures, socioculturels en particulier, ou/et socio-économiques, et ils définissent la précarité sociale de l'aidant. Précarité sociale et mauvaise qualité de vie définissent un aidant fragile, en moins bonne santé qu'un aidant ayant une bonne qualité de vie et vivant dans une sécurité au plan social.
|