Résumé :
|
[BDSP. Notice produite par FNG 9R0xT4R6. Diffusion soumise à autorisation]. Le consentement du malade d'Alzheimer apparaît progressivement comme un impératif. Le concept de démence encore attaché à la maladie semblait rendre illusoire le consentement du malade, en particulier à cause d'un diagnostic tardif. Il existe, bien sûr, un devoir d'humanité et la possibilité de soigner en l'absence d'un consentement s'il est impossible, mais c'est une toute autre logique, une toute autre pensée. La possibilité d'un diagnostic précoce change tout. Elle devrait permettre au malade d'être enfin acteur, au moins partiellement, des décisions et des soins (tiré de l'intro).
|