Résumé :
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A l'hôpital, les exigences de qualité des soins, de sécurité et de fiabilité de la transmission des informations, tout autant que la nécessité de se prémunir contre les procédures pénales, ont donné à l'écrit une place sans cesse grandissante. Se référant à une étude approfondie des communications dans trois services hospitalo-universitaires, cet article explore les limites du développement de l'écrit et les liens que les écrits entretiennent avec les échanges verbaux, et tente de préciser les conditions de leur efficacité, tout en soulignant les illusions qu'engendre la croyance au "tout écrit".
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