Résumé :
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Dans l'urgence des réponses à donner au développement de l'infection à VIH, l'accent a été mis sur la connaissance de "groupes à risque" dont l'image était souvent liée à différentes formes de marginalité sociale. Cette orientation a contribué à occulter l'existence d'un groupe de personnes atteintes qui, tant bien que mal, poursuivaient leur vie professionnelle. On manque de ce fait d'informations fiables sur leur situation réelle et l'ampleur de l'atteinte de la population active, mais quelques faits et chiffres permettent cependant d'entrevoir la nature des problèmes posés aux individus et aux entreprises par le VIH.
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