Résumé :
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Le développement de la pharmacovigilance, les références médicales opposables, le souhait de voir résolu le problème de l'aléa therapeutique, les arrêts récents de la Cour de Cassation de 1997 sur l'information et le consentement sont autant de nouveaux indicateurs. Dans ce vaste champ, le chapitre du médicament offre à la fois un domaine d'application et des particularités. Sous l'angle de la liberté, se trouve posé le problème de fond de la gestion du risque. Le droit comme référence tierce ne doit pas être compris uniquement comme synonyme de perte de liberté mais au contraire comme garantie de celle-ci, tant pour le patient que pour le prescripteur et tous les autres intervenants dans le circuit du médicament.
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