Résumé :
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Une première représentation des relations entre le médecin et le pharmacien hospitalier, à propos de la liberté de prescription, redoute l'évolution d'une logique de coordination médicale des soins vers une logique de juxtaposition de techniciens en santé. La seconde représentation est plus exigeante vis-à-vis du corps médical. Le médecin, au même titre que le pharmacien, doit tout mettre en oeuvre pour parvenir à une adéquation correcte entre sa prescription et l'administration au patient.
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