Résumé :
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Constatant le flou des définitions qui sont actuellement données tant de la santé mentale que de la prévention, et s'interrogeant sur ce que peut être aujourd'hui une démarche d'hygiène mentale, l'auteur tente de distinguer trois niveaux de prévention : la prévention médicale de la maladie mentale devant laquelle la psychiatrie demeure bien impuissante, la prévention de la souffrance psychique qui ne peut se concevoir qu'en partenariat avec le social et le politique, la prévention des désavantages ou réhabilitation qui, elle, est du domaine du social.
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