Résumé :
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[BDSP. Notice produite par CHU-SA boR0xE1C. Diffusion soumise à autorisation]. De récentes monographies révèlent chez les infirmières la prégnance d'imageries de la femme soignante et de représentations profanes du corps malade. Dans les unités de soins des services de soins généraux, la perpétuation des commérages condamnant les "techniciennes", les "relationnelles" ou les cadres "bureaucratiques", des traditions de la distinction, de la stigmatisation des "bons" et des "mauvais" malades, enfin, de pratiques rigoureuses de séparation des locaux, des eaux "propres" et "sales" témoignent d'une périlleuse et nécessaire gestion de l'émotion, suscitée par le corps à corps contraint des infirmières avec l'altérité et la contagion. (résumé d'auteur).
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