Titre :
|
Migration and health workers. Public-private mix for DOTS implementation : what makes it work ? : Partenariat public-privé pour la mise en oeuvre de la stratégie DOTS : quels sont les facteurs de succès ? (2004)
|
Auteurs :
|
Knut LONNROTH ;
Orvill ADAMS, introd. ;
Vijay-K ARORA ;
Danielle GRONDIN, introd. ;
Sanjay JUVEKAR ;
Nguyen-Tn LAN ;
David MWANIKI ;
Vikram PATHANIA ;
Barbara STILWELL, introd. ;
Mukund UPLEKAR ;
World Health Organization. Stop Tb Department. Geneva. CHE
|
Type de document :
|
Article
|
Dans :
|
Bulletin of the world health organization (vol. 82, n° 8, 2004)
|
Pagination :
|
580-586
|
Langues:
|
Anglais
|
Mots-clés :
|
Médecine tropicale
;
Programme santé
;
Tuberculose
;
Bactériose
;
Infection
;
Vietnam
;
Asie
;
Kenya
;
Afrique
;
Inde
;
Homme
|
Résumé :
|
[BDSP. Notice produite par INIST-CNRS zXWFXR0x. Diffusion soumise à autorisation]. Objectif : Comparer les processus de développement et de réalisation et les résultats de quatre projets de partenariat public-privé pour la mise en oeuvre de la stratégie DOTS de lutte contre la tuberculose à New Delhi (Inde), Ho Chi Minh-Ville (Viet Nam), Nairobi (Kenya) et Pune (Inde). Méthodes : Une analyse globale des données secondaires issues de l'évaluation séparée des quatre projets a été effectuée. Les différences entre les sites des projets au niveau de l'impact sur la la lutte contre la tuberculose (détection des cas, issue du traitement et égalité d'accès) ont été corrélées avec les différences concernant les stratégies d'intervention choisies et le contexte général du projet. Résultats : D'après les résultats de l'analyse, une intervention efficace devrait comprendre les éléments suivants en ce qui concerne les prestataires de soins : 1) orientation des prestataires privés et du personnel du programme national de lutte contre la tuberculose ; 2) amélioration du système d'orientation et d'information des patients au moyen d'outils simples ; 3) supervision adéquate des prestataires privés par le programme national de lutte contre la tuberculose ; 4) distribution gratuite de médicaments antituberculeux par le programme national de lutte contre la tuberculose aux patients du secteur privé. Conclusion : Pour qu'une intervention de ce type fonctionne, il faut que le programme national de lutte contre la tuberculose s'engage avec force en faveur du soutien, de la supervision et de l'évaluation des projets de partenariat public-privé. Le recours à une organisation non gouvernementale ou à une association médicale comme intermédiaire pourrait en outre faciliter la collaboration. Il importe d'investir du temps et des efforts pour que s'établisse un dialogue suffisant entre l'ensemble des partenaires afin de bâtir des relations de confiance et d'atteindre un niveau élevé de consensus.
|