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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par APHPDOC 3ELR0xBQ. Diffusion soumise à autorisation]. Autrefois encore, le malade mourait au domicile, entouré des siens avec des rituels consacrant ce dernier instant. Aujourd'hui, la mort est devenue hospitalière. La moitié des décès hospitaliers se produit en service de réanimation et 50% de ceux-ci résultent d'une décision médicale. On rencontre alors le problème et le vécu de la limitation ou de l'arrêt des thérapeutiques actives (LAT). Dans cette situation si particulière, le choix de l'autonomie et du devoir de non-abandon du malade entre en conflit avec celui de la primauté de la vie. (R.A.).
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