Résumé :
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Depuis quelques années, les émissions de "dioxines" dans l'air ont nettement diminué grâce à la fermeture des industries les plus polluantes et la mise en place de traitements de fumées performants dans la plupart des installations industrielles. Cependant, du fait de la grande persistance de ces molécules organiques, il n'en va pas de même du récepteur principal de dioxines que constitue le sol. Cet article propose un point sur les connaissances en termes de teneurs des dioxines dans les sols et de capacités de dégradations biologiques (bioétique) et chimique (abiotique) de sites pollués.
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