Résumé :
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Depuis les années 1980, l'Association française de myopathie (AFM), association d'intérêt sectoriel, intervient massivement dans la recherche génomique à l'aide des considérables ressources que lui procure le Teléthon, opération médiatique annuelle qui s'adresse au grand public, et permet entre autres de financer, plus ou moins fortement et durablement, un ensemble de laboratoires du CNRS. L'article explore les conséquences de ces financements sur la capacité stratégique du département des sciences de la vie du CNRS en matière de politique scientifique.
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