Résumé :
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Une étude britannnique conclut que la violence en prison pourrait être enrayée si l'on distribuait des suppléments alimentaires aux détenus. Car les comportements asociaux découlent, selon ses auteurs, de la malnutrition. Certitudes : les nutritionnistes affirment aujourd'hui que l'acide gras insaturé oméga 3, que l'on trouve essentiellement dans les poissons comme le thon et le maquereau, agit sur la production d'un neurotransmetteur, la sérotonine. Cette substance joue un rôle important dans nos changements d'humeur. Par ailleurs, les vitamines accélèrent souvent les réactions chimiques à l'intérieur du cerveau. D'où l'hypothèse qu'une alimentation pauvre en vitamines empêche le cerveau de fonctionner normalement.
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