Résumé :
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[BDSP. Notice produite par FNG H2FR0xqg. Diffusion soumise à autorisation]. De l'acte de décès aux funérailles, le corps humain mort est l'objet d'une prise en charge collective biologique, tournée vers la santé des vivants. Timidement, la "décence", que l'on pourrait définir comme la morale juridiquement protégée de la mort, émerge de la législation et la réglementation funéraires. L'extension de cette prise en charge symbolique des morts, et par là même des vivants, permettrait de relever le pari que s'est lancé l'Etat il y a un siècle, en laïcisant les funérailles et les cimetières.
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