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Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST-CNRS R0xkkDlI. Diffusion soumise à autorisation]. Quatorze répondants (93%) pratiquaient la promotion de la santé. Les pratiques courantes comprenaient l'élaboration d'une politique publique saine, le développement des compétences personnelles et la création de milieux favorables à la santé. La promotion de la santé était le plus souvent exercée de façon coercitive. Les ASE tentaient tout d'abord de sensibiliser et de créer des milieux propices à l'application des normes réglementaires et des bonnes pratiques, puis utilisaient des mesures coercitives si cette approche s'avérait inefficace. L'autorité était considérée comme un outil clé. La plupart des répondants avaient l'impression que leur mandat d'exécution n'entravait pas leur utilisation de la promotion de la santé, mais qu'il existait des barrières dues au fait que l'agent de santé environnementale était perçu négativement comme un "exécuteur". Une majorité de répondants pensaient qu'une utilisation plus fréquente de la promotion de la santé rendrait leur travail de protection plus efficace. Les stratégies pour en faciliter l'application comprennent une formation pratique sur la mise en oeuvre, des attentes claires et une responsabilisation à tous les niveaux de la planification, des ressources, ainsi que des relations avec les parties intéressées. Conclusion : Les activités de promotion de la santé des ASE sont vastes et variées. Une formation pratique ciblée sur l'adaptation de la promotion de la santé au contexte de la C. - B., ainsi que des directives claires et cohérentes relativement aux attentes et aux responsabilités, contribueraient à une meilleure implication.
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