Résumé :
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Les nouveaux entrants dans le dispositif du RMI forment un groupe assez hétérogène et ne semblent pas présenter, un an après leur arrivée, en 1995, de signes marqués d'exclusion. L'attribution de l'allocation a sans doute en elle-même un rôle intégrateur et les situations fortes d'exclusion, aboutissant au retrait de la vie sociale, restent rares. Un tiers des arrivants au RMI ne perçoit plus cette prestation un an plus tard, les jeunes sortant bien plus rapidement du système que les allocataires plus âgés. (R.A.).
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