Titre : | Enquête de prévalence Nationale 2001. Résultats RAISIN (Réseau d'alerte, d'investigations et de surveillance des infections nosocomiales. |
Auteurs : | B. Branger, coor. ; Gilles Brücker, préf. ; A. CARBONNE ; J. CHAPERON ; B. LEJEUNE ; A. LEPOUTRE ; Comité Technique National des Infections Nosocomiales. (C.T.I.N.). Paris. FRA ; Institut de Veille Sanitaire (InVS) (Saint-Maurice, FRA) |
Type de document : | Ouvrage |
Editeur : | Saint-Maurice [FRA] : Institut de Veille Sanitaire (InVS), 10/2003 |
ISBN : | 978-2-11-093908-1 |
Description : | 9 réf. / 84p, tabl., fig., ann. |
Langues: | Français |
Classement : | ARCH/ (Ouvrages retirés des rayonnages. Conservation fonds historique de la bibliothèque) |
Mots-clés : | Enquête épidémiologique ; Infection nosocomiale ; Donnée statistique ; Facteur risque ; Prévalence ; Hygiène hospitalière ; Hôpital ; Méthodologie ; Etude comparée ; Dépistage ; Lutte ; Hôpital privé ; Hôpital public ; CHU ; France |
Résumé : | Une première enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales (IN) a été réalisée dans 830 établissements en 1996 le taux de prévalence (TP) des IN était de 7,6 %. L'objectif de cette enquête était d'estimer la prévalence des IN 5 ans après cette première enquête. Une enquête de prévalence " un jour donné " a été proposée en juin 2001 aux établissements hospitaliers publics et privés français par le Réseau d'alerte d'investigation et de surveillance des infections nosocomiales (RAISIN).1 533 établissements ont participé à l'enquête et 305 656 patients ont été inclus. Les établissements participants représentaient 77 % des lits hospitaliers français. La prévalence des IN était de 7,5 %. 25 % des établissements avaient un TP des IN = à 3,2 % et 5 % avaient un TP des IN = à 17 %. Quatre localisations représentaient 71 % des IN : urinaire (40 %), cutanéo-muqueuse (11 %), pneumopathies (10%) et site opératoire (10 %). La prévalence des IN était plus faible dans les établissements privés que dans les établissements publics. 64 % souches de S. aureus étaient résistantes à la méticilline; 17 % souches de P. aeruginosa étaient résistantes à la ceftazidime. Cette étude souligne le besoin de maîtrise des résistances bactériennes dans les établissements français. Le sommaire de ce document est disponible sur le site Internet de l'INVS à l'adresse suivante : http://www.invs.sante.fr/publications/2003/raisin_enp_2001/raisin_enp_2001_sommaire.pdf |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|---|
032052 | ARCH/0751 | Ouvrage | Rennes | Compactus (indisponible momentanément) | Consultable sur place Exclu du prêt |
Documents numériques (1)
En ligne URL |