Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST g4wIR0x9. Diffusion soumise à autorisation]. Nous ayons tenté de compenser le manque de données administratives sur l'utilisation des services de santé au cours d'une étude sur les visites à l'urgence pour des problèmes cardiorespiratoires. De 1994 à 1996, nous avons recueilli des données sur 9 624 visites et procédé à 1772 entrevues de suivi. L'intervalle médian entre l'apparition des symptômes et la visite s'étendait de 0,8 jour pour les problèmes cardiaques (IC de 95%, de 0 à 1,7) à 4,0 jours pour les cas de bronchopneumopathie chronique obstructive (BCO) (IC de 95% de 2,7 à 5,3) et les infections respiratoires (IC de 95%, de 3,5 à 4,5). L'infection est apparue comme le facteur le plus commun à l'origine d'une visite pour problème respiratoire. Même si lors du contrôle de suivi, la plupart des cas s'étalent amétiorés, les symptômes persistaient en moyenne de 4.5 jours après la visite pour les problèmes (IC de 95%, de 3,8 à 5,0 à 8.4 jours (IC de 95%, de 7,2 à 9,5) pour les cas de BCO. Chez, les adultes de moins de 70 ans, le nombre moyen de jours d'activités réduites par épisode vasiait de 4.7 (IC de 95%, de 3,9 à 5,4) pour l'asthme à 6,6 (IC de 95%, de 5,9 à 7,4) pour les infections respiratoires. Nos données aident à interpréter les études épidémiologiques fondées sur des données administratives, et illustrent le vaste impact des épisodes de maladies cardiorespiratoires.
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