Résumé :
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La loi du 1er juillet relative aux associations fêtera bientôt ses 100 ans. L'extraordinaire souplesse de cette loi a permis la coexistence de formes d'organisation très diverses. Cette diversité témoigne à la fois du succès de la loi, mais pose aussi la question des limites du champ associatif qui, intercalé entre l'entreprise et l'Etat, a tendance à dériver dans ses activités vers l'une et l'autre forme de service. Qu'en est-il, aujourd'hui, de l'adéquation de la loi de 1901 aux besoins et aux réalités du terrain ? Une réforme n'est-elle pas nécessaire ?
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