Résumé :
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En France, les modes alimentaires excessifs ou inadaptés progressent. Face au comportements pathogènes, la nutrition s'intègre plus que jamais au soin hospitalier. Gage du respect accordé au patient, la qualité des repas joue un rôle considérable dans la prise en charge. D'après l'OMS, l'alimentation a pour but "d'entretenir un état de santé florissant, assurer la perpétuité de la race humaine sans dégénérescence, autoriser le travail avec le rendement optimum". Manger sainement construit et renforce l'organisme. Ses besoins sont couverts par un apport équilibré de protéines, lipides, glucides, fibres végétales, eau, minéraux et vitamines. En théorie les apports sont fournis : de 10 à 12% par les protéines ; de 50 à 60% par les glucides ; de 25 à 33% par les lipides.
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