Titre : | Methyl chloride. |
Auteurs : | Agneta LOF ; Jonny BARD ; Maria WALLEN ; International Programme on Chemical Safety. (I.P.C.S.). Genève. INT |
Type de document : | Ouvrage |
Editeur : | Copenhague [DNK] : Organisation Mondiale de la Santé (OMS), 2001 |
Collection : | Concise international chemical assessment document , num. 28. |
ISBN : | 978-92-4-153028-6 |
Description : | 44p. / tabl., fig. |
Langues: | Anglais |
Mots-clés : | Toxicité ; Risque ; Espèce humaine ; Toxicologie ; Mesure risque ; Exposition ; Chlore ; Pollution atmosphérique ; Couche ozone ; Diminution ; Appareil respiratoire [pathologie] ; Système nerveux [pathologie] ; Expérimentation animale ; Hygiène & sécurité ; Environnement ; Impact |
Résumé : | L'évaluation des effets du chlorure de méthyle sur la santé humaine qui figure dans ce document repose principalement sur une mise au point rédigé par le Groupe nordique d'experts en collaboration avec le Comité néerlandais pour les normes d'hygiène sur les lieux du travail (Lundberg, 1992). Un dépouillement des banques de données couvrant la période 1992-1999 a été effectué. Lorsque du chlorure de méthyle est libéré dans l'atmosphère, c'est surtout au cours de sa production, de son utilisation ou encore lors de l'incinération de déchets municipaux ou industriels. Les sources naturelles de chlorure de méthyle l'emportent largement en importance sur les sources d'origine humaine. La voie la plus importante d'exposition humaine au chlorure de méthyle est la voie respiratoire. Chez l'homme comme chez l'animal de laboratoire, il est rapidement absorbé au niveau des poumons après inhalation. On peut dire que chez l'homme, le point d'aboutissement de l'action toxique de ce corps est vraisemblablement le système nerveux central. On a pu tirer des valeurs-guides de 0,018mg/m3 (0,009ppm) pour une exposition indirecte dans l'environnement et de 1,0mg/m3 (0,5ppm) pour une exposition sur le lieu de travail. Bien que les lésions nerveuses aient été constatées chez le rat à des doses plus faibles que celles qui procoquaient la stérilité des mâles ou des lésions rénales chez les souris mâles, c'est ces très graves effets qui sont à prendre en compte pour toute caractérisation du risque. |
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