Résumé :
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[BDSP. Notice produite par INIST sER0xr1K. Diffusion soumise à autorisation]. On ne comprend pas bien le rapport qui existe, au Canada, entre les indices socio-économiques et l'utilisation des services hospitaliers. Nous avons utilisé les données du recensement du Canada de 1991 et les s de congés d'hôpitaux des résidents du territoire du sud-est de Toronto, de 1990 à 1992, pour calculer les taux brutes et les taux ajustés (selon l'âge et le sexe), des admissions hospitalières, des jours-lits, et des coûts, pour chacun des quintiles de foyers à faibles revenus. Le taux d'admissions hospitalières pour chaque (population), de jours-lits et des coûts, étaient tous reliés, dans une mesure statistiquement significative, aux catégories de revenus (p<0.01 pour les hommes et les femmes), mais la durée de l'hospitalisation et l'intensité des ressources requises ne l'étaient pas. Les coûts hospitaliers encourus par le quintile des quartiers les plus pauvres étaient 50,0% plus éleves que ceux des plus riches et 35% plus élevés que ceux des quintiles à revenus moyens. Il est possible que les quartiers urbains pauvres requièrent plus de ressources qu'il ne l'avait été prévu, dû à des taux d'admissions et de réadmissions plus élevés.
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