Résumé :
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[BDSP. Notice produite par CTNERHI hlR0xBrF. Diffusion soumise à autorisation]. Les traumatisés crâniens vivant en France sont évalués à environ 100.000, et leur nombre est loin de diminuer. Par les lésions plus ou moins profondes qui atteignent la sphère neurologique, ce "handicap invisible" touche la personnalité, le comportement, les fonctions intellectuelles et cognitives, la mémoire, l'attention. L'aspect médical est d'abord évoqué, avec le difficile problème de l'évaluation médicale. Elle repose sur une échelle des handicaps, le Glasgow Outcome Scale, qui distingue quatre catégories d'états de gravité, allant du G1 au G4. A chaque fois, est donné, dans un esprit de complémentarité, le point de vue des professionnels, celui des familles, représenté par l'UNAFTC, de personnes atteintes par un traumatisme crânien. Le numéro est introduit par un entretien avec le nouveau président de l'UNAFTC, Jean BARUCQ. Les pages 57 et 58 rendent compte d'un centre de ressources pour enfants et adolescents avec lésion cérébrale acquise. Les pages de documentation donnent les adresses des UEROS (Unités d'évaluation, de réentraînement et d'orientation sociale et professionnelles), centres qui mettent en oeuvre un projet social et professionnel d'après une évaluation des capacités résiduelles détectées.
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