Résumé :
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[BDSP. Notice produite par APHPDOC wWR0xF5H. Diffusion soumise à autorisation]. Cet article appartient à une suite : un premier article publié dans Droit, déontologie et soin, septembre 2001, vol. 1, n° 1, intitulé "La déontologie comme principe", un deuxième publié dans Droit, déontologie et soin, décembre 2001, vol. 1, n° 2, intitulé "La déontologie comme outil", dont la suite (troisième article) a été publiée dans Droit, déontologie et soin, mars 2002, vol. 2, n° 1, un quatrième publié dans Droit, déontologie et soin, juin 2002, vol. 2, n° 2, intitulé "Une déontologie objective", comme l'indique le plan suivant : Déontologie en soin infirmier - Une déontologie implicite ? 1ère partie - La déontologie comme principe (1) 2ème partie - La déontologie comme outil (2 et 3) Une déontologie explicite1ère partie - Une déontologie objective (4) 2ème partie - Une objectivité suspendue (5) Conclusions et annexes. Cette partie, intitulée "Une objectivité suspendue", traite de la responsabilité en général, déontologique, et de la sanction, à savoir le jugement consulaire, et la conciliation et arbitrage déontologique.
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