Résumé :
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Le groupement de coopération sanitaire pose, par les modalités de son fonctionnement prévues dans l'ordonnance du 4 septembre 2003, un nouveau jalon dans une gestion commune des équipements et des ressources humaines de la santé. Le GCS, appelé à se développer au gré de la mise en cohérence des besoins de la population et de l'offre de soins, sera au centre de la politique de restructuration sanitaire des années futures, sans néanmoins pouvoir prétendre à une application du principe de démocratie sanitaire en son sein. Le technique est en place, mais la politique se fait attendre.
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