Résumé :
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[BDSP. Notice produite par FNG JR0x35rG. Diffusion soumise à autorisation]. La mort est dérangeante, même en institution gérontologique, encore plus mortifère si elle n'a aucune place reconnue. Les rites, non seulement funéraires, mais aussi de la fin de la vie, permettent d'introduire une structure d'échanges symboliques. Nous relatons notre expérience au Centre d'Andilly, illustrée par certaines histoires de la vie, autour de l'organisation des lieux, à partir de la structuration du temps de la vie et de la mort dans l'institution, avec l'ensemble des acteurs, résidants, familles, professionnels. Un langage sur la mort, une parole à propos des morts, commencent à se faire-entendre même si les résistances du déni restent majeures. C'est à ce prix que l'institution gérontologique, lieu ultime d'accueil, peut rester vivante. (résumé de l'auteur).
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