Résumé :
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25 millions de français ont été vaccinés contre une maladie dont les risques ont été artifficiellement exagérés : 1 600 d'entre eux souffrent de graves maladies ou sont décédés. Aujourd'hui, ils accusent le vaccin. En 1994, le ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy lance une croisade en vue de faire vacciner l'ensemble de la population française contre l'hépatite B, alors présentée comme un fléau pire que le sida puisque l'un des slogans de l'époque affirmait : "L'hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an !" Dans le cadre d'une campagne mondiale qui a rapporté des milliards de dollars aux laboratoires, la France se place aux avant-postes. 175 000 enfants scolarisés sont traités avec un vaccin surdosé. Quand les premières complications surgissent, le réflexe du gouvernement socialiste est de confier une enquête aux RG afin de vérifier si ceux qui dénoncent le vaccin n'appartiendraient pas à une secte ! Comme si les précédents du sang contaminé et des hormones de croissance n'avaient pas servi d'exemples, l'intérêt des laboratoires se confond, une fois de plus, avec la politique de santé publique, sans que la population soit honnêtement informée des enjeux et des risques.
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